Khamzat Azimov s’en était pris en tout à une dizaine de personnes jusqu’à ce que trois policiers appelés au secours arrivent sur les lieux. L’attaque avait été revendiquée par le groupe État islamique
Abdoul-Hakim Anaiev, accusé d’avoir « conditionné » son « meilleur ami », le djihadiste français d’origine tchétchène qui avait tué un passant à Paris près de l’Opéra en mai 2018, est jugé devant la cour d’assises spéciale de Paris à partir de mercredi. Le jeune homme âgé de 20 ans au moment des faits est accusé de « participation à une association de malfaiteurs terroristes en vue de la préparation de crimes d’atteintes aux personnes ».
Ce procès intervient dans un contexte de crainte d’attentats en France depuis l’assassinat d’un professeur dans un lycée d’Arras le 13 octobre par un ancien élève de nationalité russe, né en Ingouchie, république russe frontalière de la Tchétchénie.
Cet article est rédigé par SudOuest avec AFP.