A la suite du témoignage que Marie-Claude DESJEUX a livré à l’Association française des Victimes du Terrorisme (AfVT), en coordination avec le Comité Interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation (CIPDR), lors du VIIIème Congrès International des Victimes du Terrorisme qui s’est tenu à Nice les 21, 22 et 23 novembre dernier (voir article en lien en cliquant ici), la Vice-Présidente de la FENVAC revient sur l’importance de la mémoire pour les victimes du terrorisme.

A la fois douloureuse et heureuse, la mémoire évoque des moments particulièrement difficiles qui marquent à jamais l’existence des victimes et de leurs proches, mais également des moments de vie et de sérénité. Ainsi les recueillements, les hommages et les commémorations revêtent cette intensité si particulière où viennent fusionner ces émotions dans le souvenir d’un être enlevé, d’une vie à jamais changée.

Pour Marie-Claude DESJEUX, « la mémoire est une reconstruction par l’intelligence ». C’est, selon elle, la meilleure acception que l’on peut retenir de ce mot et qui illustre de la plus belle des manières la résilience des victimes au quotidien.

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