MÉMOIRE I Nous rendons hommage aux victimes de l’attentat de Ouagadougou du 2 mars 2018

Il y a cinq ans, le 2 mars 2018, plusieurs djihadistes perpétraient des attaques simultanées à Ouagadougou capitale du Burkina Faso.

L’attaque débute à 10h, lorsque plusieurs hommes armés tentent de s’infiltrer dans l’ambassade de France. N’y parvenant pas, ils tirent sur le guichet d’accueil du bâtiment avant de franchir le mur d’enceinte de la villa mitoyenne où loge le personnel diplomatique. Ils seront alors abattus par les gendarmes burkinabés et des militaires français.

Dans le même temps, un autre commando vise l’Institut français situé à moins de deux kilomètres de l’ambassade. Les djihadistes tirent sur les passants tandis qu’une voiture piégée explose. Plusieurs d’entre eux réussissent à s’introduire dans le bâtiment avant d’être finalement repoussés.

Cet attentat coûte la vie à huit militaires burkinabés. Le bilan des blessés est également très lourd avec soixante un militaires burkinabés et vingt-quatre civils blessés.

L’enquête n’a pas encore abouti puisque l’instruction est toujours en cours.

La FENVAC, représentée par Maître CHEMLA dans ce dossier, s’est constituée partie civile depuis l’ouverture de l’instruction judiciaire et reste mobilisée pour l’accompagnement des victimes dans les suites de ce dramatique attentat.

Nous n’oublions pas.

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