IMMEUBLES EFFONDRES A MARSEILLE : UN SIXIEME CORPS DECOUVERT DANS LES DECOMBRES DE LA RUE TIVOLI

Le bilan provisoire s’établit à six morts et deux disparus. Plus de 700 m3 de gravats ont déjà été retirés des immeubles effondrés de la rue Tivoli.

La nuit s’annonce de nouveau longue. 120 marins-pompiers et sapeurs-pompiers sont toujours engagés dans les opérations de déblaiement et de secours dans la rue Tivoli ce lundi 10 avril. Quelque 80 effectifs de police sont également engagés pour sécuriser le quartier. Le bilan provisoire s’établit pour l’heure à six morts et deux personnes portées disparues. Les secouristes poursuivent leurs recherches avec des maîtres-chiens pour retrouver d’éventuels survivants. Ce direct est maintenant terminé, retrouvez dès mardi toutes les infos sur cette actualité dans un nouveau direct avec France 3 Provence-Alpes.

20 h 30 : une veillée de prière pour les victimes

Une veillée de prière pour les victimes de la rue Tivoli, présidée par le cardinal archevêque de Marseille Jean-Marc Aveline, se tient en l’église de Saint-Michel, place de l’Archange (5e). Benoît Payan, maire de Marseille, y participe notamment.

19 h 55 : un sixième corps découvert dans les décombres

Un sixième corps sans vie a été retrouvé dans les décombres des immeubles effondrés de la rue Tivoli, annonce le parquet de Marseille dans un communiqué.

18 h 50 : drapeaux en berne et recueils de condoléances

Le maire a pris la décision de "mettre en berne les drapeaux de l’hôtel de ville, ainsi que des mairies de secteurs", selon un communiqué de presse de la municipalité. Dès demain, des recueils de condoléances seront mis à disposition pour tous les Marseillais et Marseillaise à l’hôtel de ville, quai du Port, dans le 2ème arrondissement, ainsi que dans la mairie des 4e et 5e arrondissements, 13, square Sidi-Brahim, dans le 5e arrondissement.

18 h 45 : un cinquième corps retrouvé

Un cinquième corps vient d’être retrouvé dans les décombres. On ne connaît pas, pour l’instant, l’identité de cette personne.

18 h : toujours "de l’espoir" pour les marins-pompiers

Peu avant 18 heures, les marins-pompiers de Marseille font le point sur la situation sur place. Après 39 heures de recherches, l’espoir est toujours présent. "Le travail se poursuit. On a toujours espoir et on met les moyens", précise le Capitaine de frégate Pascal, commandant des opérations de secours.

Les opérations de recherches sont terminées dans les zones où se trouvaient les chambres. "On se focalise maintenant sur les pièces à vivre, côté rue", poursuit-il. "On enlève les gros blocs, on déblaie un maximum, de façon à récupérer à la main sans risquer d’aggraver l’état des victimes", ajoute le Capitaine de frégate.

C’est avec beaucoup de précaution que les marins-pompiers tentent de déblayer les décombres. "Dès qu’on a réussi à enlever ces morceaux, on envoie une équipe chercher dans les décombres avec chiens." Depuis la fin de la matinée, "l’incendie n’est plus une problématique". "Le déblaiement massif a permis d’accéder aux foyers, de refroidir ce qu’il brulait."

"Un mètre de gravats correspond à un étage." Capitaine de frégate Pascal

Depuis le début des opérations, 700 m3 de gravats ont été enlevés. "On ne peut pas vous dire combien il en reste précisément."

Certains risques persistent, notamment en ce qui concerne les "deux bâtiments contigus". "Pour l’instant, ils ne bougent pas mais la manutention réalisée par la grue, c’est une gros engin de chantier qui crée des vibrations, poursuit le commandant des opérations. On prend toujours le risque de les faire bouger." Les experts ont pu accéder au chantier, de manière ponctuelle.

"Tous les bâtiments qui ont fait des effets collatéraux du souffle, de l’explosion : vitre brisée, brisures sur les façades, portes abimées", sont expertisés de façon "précise".

Les occupants de 61 appartements ont pu rentrer chez eux pour récupérer quelques effets personnels, "argent, clés de voiture...". La Ville met à disposition un standard pour les résidents évacués au 04 91 55 11 11. L’opération sera renouvelée demain, "pour que tous les gens concernés puissent atteindre leur appartement".

Certains riverains pourraient retourner dès demain dans leur logement. "On peut faire remettre les fluides : électricité, gaz, pour qu’ils puissent reprendre une vie normale." Il s’agirait de 5 ou 6 bâtiments.

Di’ci là, un dispositif de sécurité a été mis en place dans tout quartier et "veille en permanence" sur les immeubles.

17 h 45 : pourquoi la piste d’une explosion liée au gaz est très probable

"Pour qu’un immeuble s’effondre, il faut un problème structurel. Sinon, il n’y a pas 36 possibilités, et le gaz est la première à envisager", explique Joël Hovesepian, investigateur pour les sapeurs-pompiers, expert judiciaire en incendie-explosion, qui dirige un bureau d’études en prévention incendie. Dans le drame de la rue Tivoli, la piste d’une explosion liée au gaz peut sérieusement être envisagée, même si l’enquête ne l’a pas encore déterminé.

17 h 15 : le travail méticuleux des marins-pompiers

Pour évacuer les gravats, les marins-pompiers procèdent d’abord "à un déblaiement au moyen d’une pelle mécanique, avec une pince", explique Adrien Schaller, marin-pompier au sein du bataillon de Marseille. "Et quand on tombe sur des poches qui nous font plus penser à des pièces de vie, comme des chambres, avec une présence importante de vêtements, de matelas, on passe au travail à la main, ou à la pelle manuelle." A chaque espace de vie repéré, les équipes cynotechniques entrent également en action. "Il y a eu quelques marquages de la part des chiens, mais rien de très franc, tempère le pompier. En fait ils réagissent surtout aux effluves des personnes vivantes."

16 h 00 : DOCUMENT AUDIO : la détonation entendu jusqu’au Vieux-Port

Ils tournaient un clip de rap dans la nuit de samedi à dimanche sur le Vieux-Port de Marseille, devant l’hôtel de ville, quand soudain... La détonation entendue dans cette vidéo amateur est celle de l’explosion de l’immeuble de la rue Tivoli, qui serait à l’origine de l’effondrement de l’immeuble du numéro 15 puis de celle du numéro 17.

15 h 30 : certains logements pourront être réintégrés mardi

L’adjoint à la ville délégué à la sécurité, Yannick Ohanessian, a annoncé que des personnes évacuées pourront réintégrer leur logement à partir de demain mardi. Le périmètre de sécurité mis en place autour des immeubles effondrés doit être réduit à partir de ce soir.

15 h 15 : une veillée de prière organisée ce soir

La veillée de prière pour les victimes de la rue Tivoli prévue lundi 10 avril à 20 h dans la chapelle de l’œuvre jeunesse Jean-Joseph Allemand (41, rue Saint-Savournin) aura finalement lieu à la même heure mais en l’église de Saint-Michel (place de l’Archange) dans le 5e. Cette veillée sera présidée pr Jean-Marc Aveline, cardinal archevêque de Marseille.

15 h 00 : une plateforme d’entraide

La plateforme d’entraide locale Aouf, née en réponse au drame du 5 novembre 2018 à Noailles, a été réactivée pour venir en aide aux sinistrés de la rue de Tivoli. Les internautes peuvent y proposer de l’aide en s’inscrivant sur https://beta.aouf.fr et proposer un logement, des habits, des repas, des dons, etc.

14 h 00 : l’école primaire Franklin-Roosevelt fermée mardi
L’école élémentaire Franklin-Roosevelt restera fermée le mardi 11 avril, a indiqué le maire de Marseille dans un message adressé aux parents d’élèves. Les Marins-Pompiers y ont installé un centre de commandement et la Ville y gère la coordination de ses services. "Les opérations étant toujours en cours, nous ne pouvons pas à ce stade rouvrir l’école mardi 11 avril", explique Benoît Payan, qui précise que tout est fait pour que "tous les enfants puissent être accueillis demain, et nous avons tout mis en œuvre pour que les cours puissent avoir lieu demain dans d’autres bâtiments situés à proximité". Les parents seront contactés par mail et par téléphone par le service de l’éducation, dans les prochaines heures, pour connaître les lieux exacts de cet accueil exceptionnel.

13 h 00 : comment aider les riverains ?
Après l’effondrement des immeubles rue Tivoli, la Ville organise le relogement des riverains évacués et a mis en place un centre d’accueil et d’écoute. Des initiatives ont également été mises en place par les citoyens.

12 h 35 : 43 immeubles évacués
Selon le ministre du logement venu faire sur place un point de situation, 40 immeubles ont été évacués dans le périmètre de sécurité établi après l’effondrement des immeubles de la rue de Tivoli. Certaines de ces personnes pourraient dès ce soir gagner leur domicile, dans la zone la plus en bordure et éloignée du sinistre, selon le maire de Marseille.

12 h 25 : 350 m3 de gravats retirés
Tout en menant une course contre la montre pour retrouver des survivants plus de 35 heures après le drame de la rue Tivoli, les marins-pompiers font tout pour préserver l’environnement au besoin de l’enquête pour que les enquêteurs de la police judiciaire puissent travailler sur la scène de l’effondrement. 350 m3 de gravats ont déjà été retirés.

12 h 10 : Olivier Klein sur les lieux
Le ministre délégué chargé du Logement est à Marseille. Arrivé sur les lieux du drame, Olivier Klein a loué le travail des marins-pompiers engagés dans les opérations de recherche, après l’effondrement d’un immeuble. "Quatre corps retrouvés, ce sont des découvertes macabres et difficiles", a déclaré Olivier Klein lors d’un point-presse, rue Tivoli. Cette découverte d’un quatrième corps a été aussitôt confirmée au centre de commandement des pompiers.

12 h 00 : un 4e corps découvert
Un quatrième corps a été retrouvé sous les décombres, selon les pompiers. Les secouristes sont en train de l’extraire des gravats, selon le commandant Laurent.

11 h 55 : le feu couve toujours

La centaine de sauveteurs qui est mobilisée pour rechercher des survivants est aidée de chiens, de drones et de sondes thermiques. Les secours travaillent sans relâche, dans des conditions difficiles, avec un feu qui couve toujours sous les gravats.

11 h 25 : des prélèvements d’ADN sur les proches des victimes

Pour l’aucun des corps extraits des décombres n’a été identifié, selon le parquet de Marseille. Pour permettre l’identification des victimes des effondrements de la rue de Tivoli, les autorités ont procédé lundi matin à des prélèvements d’ADN sur les proches des victimes, a indiqué sur BFMTV un homme sans nouvelles de sa tante.

11h 10 : les dons affluent

L’association des parents d’élèves (APE) de l’école Franklin Roosevelt, rue de Tivoli, qui dès dimanche à lancé un appel à la solidarité pour les personnes évacuées, indique avoir reçu de très nombreuses offres de logements et de dons de vêtements qu’elle ne peut pour l’instant pas gérer car elle ne dispose pas de local. Des discussions sont en cours avec la mairie. Les personnes souhaitant apporter leur aide sont invitées à remplir ce formulaire en ligne.

A 20 h ce lundi, un recueillement est organisé à l’Oeuvre de la Jeunesse JJ Allemand, au 41 rue Saint-Savournin.

11 h : un troisième corps découvert

Le parquet confirme la découverte d’un troisième corps extrait des décombres. Pour l’heure, les victimes ne sont pas encore identifiées. Le bilan provisoire s’établit désormais à cinq personnes disparues.

10 h15 : "Marseille ressuscitera"

10 h 05 : l’arrivée du ministre du logement prévue à 11 h

Le ministre du logement doit tenir à 11 h une réunion pour un point de situation avec le maire de Marseille, les services de la ville et le préfet à l’école Franklin Roosevelt, rue Tivoli. Olivier Klein rencontrera ensuite les secours mobilisés. A 12 h 15, le ministre est attendu en préfecture pour un point de situation sur le relogement des personnes évacuées avec les services de l’Etat et les parlementaires.

9h 50 : une personne recherchée s’est manifestée

9 h 45 : les recherches toujours en cours

Les opérations de recherche sont toujours en cours rue Tivoli à Marseille. L’immeuble que l’on voit sur cette photo prise ce matin, partiellement éventré, est celui du numéro 19, voisin du 17 soufflé par l’explosion dans la nuit de samedi à dimanche.

9h 30 : la police scientifique d’Ecully en renfort

La police technique et scientifique d’Écully, près de Lyon, a été envoyée en renfort à Marseille pour épauler les équipes d’investigation sur place, selon BFMTV Lyon. L’enquête se poursuit pour déterminer les causes de l’explosion. Le gaz fait partie des pistes, selon les autorités.

9 h 25 : "une bataille contre le temps"

"Le feu n’a pas sévi dans toutes les parties, l’espoir existe qu’il y ait des personnes encore vivantes", a affirmé lundi matin le commandant des marins-pompiers de Marseille, le vice-amiral Lionel Mathieu évoquant une "bataille contre le temps", plus de 30 heures après l’effondrement des immeubles.

9 h 00 : ouverture d’un centre d’accueil

Le centre d’ accueil des familles est ouvert au 110 boulevard de la libération dans le 4e arrondissement depuis 7h 30 ce lundi matin pour les proches des personnes disparues, a indiqué le parquet de Marseille. Un dispositif d’appui médico-psychologique est aussi mis en place par téléphone en composant le 15 puis le 412.

8 h 45 : la communauté chrétienne solidaire

"Je partage l’angoisse des familles et des proches et je salue les efforts et la persévérance de tous les sauveteurs", a écrit dans un message aux habitants le cardinal de Marseille Jean-Marc Aveline. La "communauté chrétienne de Marseille qui fête Pâques, se joint à moi pour exprimer notre solidarité et notre compassion", avec les personnes touchées par ce drame.

"La 9e personne dont les proches étaient sans nouvelle, s’est manifestée auprès d’eux ce matin", a indiqué la procureure de la République de Marseille Dominique Laurens. Il s’agit de la personne habitant au numéro 19. Le bilan provisoire est de deux morts et six disparus, ajoute le parquet dans son communiqué.

8 h 35 : la réaction de Kévin Vacher

"C’est tout un quartier, des familles, proches, qui vont apprendre la disparition de deux des leurs. Tout Marseille est en deuil avec vous", a réagi ce lundi matin sur Twitter Kevin Vacher, militant marseillais contre le mal-logement du Collectif du 5-Novembre.

8 h 30 : les immeubles voisins fragilisés

Près de deux cents personnes ont été relogées dans l’urgence. Les évacués ne savent pas quand ils pourront regagner leur domicile. L’inquiétude persiste car les immeubles voisins sont "fragilisés", a indiqué le maire de Marseille.

8 h 10 : les corps découverts n’ont pas été identifiés

Les deux corps découverts vers une heure du matin dans la nuit de dimanche à lundi n’ont pas encore été identifiés, a précisé le maire de Marseille. Les deux victimes ont été retrouvées sous trois mètres de gravats et leur extraction a été très difficile, a indiqué l’amiral Lionel Mathieu.

7 h 50 : les opérations "peuvent durer plusieurs jours"

"Nous avons une centaine de marins-pompiers et sapeurs-pompiers engagés", a indiqué l’amiral Lionel Mathieu des marins-pompiers de Marseille, qui commande les opérations de secours menées par les équipes spécialisées avec les chiens. Les secouristes travaillent sur deux fronts, dans le déblaiement des gravats pour retrouver d’éventuelles personnes ensevelies et la lutte contre l’incendie qui continue sous les décombres. Selon l’amiral, "ça peut durer plusieurs jours", assurant qu’il dispose des ressources suffisantes et formées pour mener ces opérations.

Les secours mènent un travail "méticuleux" pour retirer les gravats sans risquer de fragiliser les décombres et combattent les fumées en utilisant l’eau "avec parcimonie" pour ne pas noyer les poches d’eau où pourraient se trouver des survivants.

7 h 30 : au moins neuf personnes recherchées

"Nous recherchons des personnes sur site, nous considérons que huit personnes ont disparu dans l’effondrement du 17 et une dans le 19, mais il y avait peut-être des invités (...) et il faut être extrêmement prudent", a indiqué Benoît Payan à la presse, en direct sur le site de ce lundi. La personne portée disparue dans l’immeuble du 19 n’a pas donné de nouvelles à ses proches depuis le drame.

"Le travail d’excavation des corps a été très difficile. L’identification de ces corps n’est pas encore connue avec précision", a précisé le maire confirmant la découverte de deux corps sans vie. "Les marins-pompiers sont héroïques car les bâtiments voisins se fragilisent de plus en plus et menacent.

Le feu n’est pas encore totalement éteint sous les décombrent. Nous n’avons toujours pas plus d’information sur les causes de l’explosion, l’enquête est en cours."

"Il reste de l’espoir" pour retrouver "d’éventuels survivants", a ajouté le maire.

7 h 25 : déclaration du maire de Marseille

"Cette nuit la peine et la douleur sont grandes. Je pense aux proches, aux familles, à celles et ceux qui souffrent aujourd’hui, et qui demeurent dans l’inquiétude et l’insoutenable attente. Je souhaite leur témoigner mon soutien entier et sincère, et leur assurer que la Ville de Marseille se tient à leurs côtés et mettra tout en œuvre pour les accompagner dans cette épreuve. Nous continuons à tout faire pour mener à bien les opérations de secours. Notre bataillon des Marins-Pompiers et les services de la Ville, accompagnés des services de l’Etat, sont toujours, en ce moment même pleinement engagés pour poursuivre les recherches”, a déclaré Benoît Payan dans un communiqué, après la découverte de deux personnes décédées dans l’effondrement de l’immeuble de la rue de Tivoli.

7 h 20 : Olivier Klein attendu à Marseille

Le ministre délégué à la ville et au logement est attendu en fin de matinée à Marseille ce lundi matin. "Je réaffirme mon entière solidarité avec les victimes et leurs proches, également ma reconnaissance envers les marins-pompiers et pompiers 13 et tous les personnels mobilisés", a déclaré le ministre sur Europe 1.

7 h 15 : 130 secouristes mobilisés

Plus de 24 heures après l’effondrement de l’immeuble du 15 rue de Tivoli, 130 marins-pompiers et sapeurs-pompiers civils sont toujours à pied d’œuvre pour retrouver des victimes alors que six à sept personnes sont portées disparues. L’espoir de retrouver des survivants s’amenuise d’heure en heure, mais il demeure, à l’exemple de la Turquie, où trois rescapés ont été secourus dans les décombres 12 jours après le séisme.

7 h : deux corps sans vie retrouvés

Deux corps sans vie ont été retirés des décombres par les marins-pompiers qui continuer de chercher des victimes dans les gravats des immeubles effondrés. C’est toujours une course contre la montre pour retrouver six à sept personnes toujours portées disparues. Le travail des sauveteurs dans les décombres est toujours rendu difficile par un incendie qui complique l’intervention des chiens pour chercher d’éventuels survivants.

Crédit photos : Article rédigé par Annie Vergnenegre publié sur le site france3-regions.francetvinfo.fr

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