MÉMOIRE I Nous rendons hommage aux victimes de l’attentat djihadiste de Ouagadougou

Il y a six ans, le 2 mars 2018, l’ambassade de France au Burkina Fasso, l’institut français et l’état-major général des armées burkinabées étaient visés par deux attaques islamistes simultanées.

Quatre hommes, armés de fusils, avaient tenté de s’introduire au sein de l’ambassade française. Ils avaient tiré sur le guichet d’accueil de l’ambassade, protégée par des vitres blindées, avant de franchir le mur d’une villa mitoyenne où résidait le personnel diplomatique. Ils sont finalement abattus par les gendarmes burkinabés et les militaires français du commandement des opérations spéciales.

Au même moment, une voiture piégée explose devant l’état-major des armées, situé à côté de l’institut français. Des hommes armés s’en prennent dans le même temps aux passants, en ouvrant le feu. Les forces armées présentes sur place ripostent et neutralisent les terroristes.

Huit personnes perdront la vie lors de cette attaque et soixante et une personnes seront blessées.

Le lendemain, l’attaque est revendiquée par le groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, branche officielle d’Al Qaïda située dans l’ouest du Sahel.

Actuellement une enquête est toujours en cours. La FENVAC, partie civile dans ce dossier est représentée par Maitre Chemla, reste mobilisée aux côtés des victimes pour les soutenir suite à cet attentat.

Nous n’oublions pas.

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