Les familles des victimes des attentats de Bamako en 2015, dont l’Angevin Fabien Guyomard, et l’association de soutien aux victimes d’attentats, attendaient avec impatience de découvrir avec l’ouverture du procès si le principal accusé était bien resté en prison, ou avait été relâché par le Mali en échange d’otages.
Crédit photos : Date : 27/10/2020
Auteur : Nadège DESQUIENS
Site : ouest-france.fr